Uno, dos, tres...



lunes, 17 de enero de 2011

Vieux souvenirs.

La rue solitaire de ma ville natale
Où j'ai vu naître des fleurs, périr de grands arbres
Ce chemin qui brille comme un objet en marbre
Ce chemin qui mène à cette femme fatale

Elle m'enlève la vie, m'abandonne à mon sort
Me rappelle chaque jour que la mort approche
Je ris, vif; elle s'annonce, comme une cloche
Qui m'efface la pensée, me laisse et je dors.

Je rêve mon passé, j'oubli mes sentiments
La Mort me prend, me vide, m'oublie et me ment
Je suis une âme vagabonde sans limites

Elle sent la fraîcheur de la satisfaction.
Au revoir, vieux monde, toujours si hypocrite
Moi, je déclare joyeux mon abdication.

1 cenizas encendidas:

Ana dijo...

Poema y foto. Bellos.

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