Uno, dos, tres...



martes, 31 de mayo de 2011

Excusa para soñar.

La ciudad del viento. by Pi Searchlight
La ciudad del viento., a photo by Pi Searchlight on Flickr.

De ti, lo único que conozco es el blanco de tus ojos, porque está escrito en el verde del mar. Gritan las sirenas desde la orilla, clamando al cielo su recompensa, mientras tú estás en deuda con la tierra. Rompen las olas al bailar, viven las estrellas en el mar, dime que somos peces y que nuestra memoria se desvanecerá mañana. Al amanecer, las gaviotas descenderán de la montaña para gritar que estás de vuelta. Aunque aún no te has ido. Desconozco tu nombre, tus ganas, tus ideales; pasemos de presentaciones. Vuelas entre los versos que se quemaron de noche bajo sábanas de alcohol, alejándote del mundo para adentrarte sigilosamente en la cueva del olvido. A veces, existe una dependencia inexplicablemente absurda, que oscila entre el éxtasis de dejarse ganar, y las ganas de la victoria. Y te da la vida, o me la quitas tú. Cuando las palabras fluyen en el vaivén de las lágrimas, te confundes con la arena del mar, y brillas casi tanto como las pupilas al terminar de besar. Escapaste en el barco de las lamentaciones y me dejaste el billete de vuelta. Al venir a buscarlo, se lo habrá llevado la marea, junto a mis huesos. Aún así, el fondo del océano sabe que estás de vuelta, que nunca te fuiste, y que todo es mentira. Porque tu nombre, lo dejaste escrito en la servilleta de aquel bar de carretera, y tu vida, me la cantas cada día al oído.

sábado, 14 de mayo de 2011

Utopie.

Carpedile est un énorme quadrilatère entouré d'eau. Les côtes sont multifonctionnelles; en effet, la marée est stable, et les vagues s'adaptent à l'activité qui les réclame. Les tsunamis évidemment n'existent pas, ainsi que les divers phénomènes géologiques. En effet, l'île flotte sur l'océan qui n'est lui même soutenu par rien d'autre que le vide. Le monde est plat.
Des lignes continues de bâtiments divisent la ville, formant un filet harmonieusement carré. Chaque sous-partie est entourée d'un canal d'eau cristalline, qui coule tout au long de la cité. La nuit, il pleut de façon à fournir l'eau à la ville, qui n'est jamais en manque, mais bien sûr, le matin la ville est sèche pour pouvoir vivre le quotidien correctement.
À l'intérieur de chaque division, on trouve une forêt dont la splendeur reste gravée dans la mémoire de celui qui la visite. Les immenses arbres dominent le bois, avec un colossal feuillage d'un vert émeraude, des troncs d'énorme diamètre, et une hauteur vertigineuse. On respire un air si pur qu'on pourrait croire qu'on touche le ciel à deux mains. La verdure se mêle aux reflets bleus que donne la cascade, dont l'eau est d'un bleu azur si profond que l'on peut tout comtempler, tel un miroir. Le son de l'eau qui tombe retentit dans la douce pinière, et remplit de vie les alentours. Les vallées abritent de précieux oiseaux de toutes les couleurs qui survolent la ville. Les colibris chantent le matin, et volent d'un coin à l'autre de Carpedile, tandis que les canaris restent sur le balcon à admirer la beauté qui les entoure.
Les constructions sont grandioses, mais d'un aspect si simple, si sobre, qu'elles atteignent le summum de l'élégance et de la fonctionnalité. Les musées, en grand nombre et ornés de mille colonnes, remplissent la ville de culture, et mêlent les souvenirs du passé, avec les inventions du futur.
Les Carpediliens sont si cultivés, si intelligents, si beaux qu'ils n'ont pas d'idéaux, et ne sont pas perdus dans la société de consommation. L'argent n'existe pas; de cette façon, les crises économiques ne peuvent pas avoir lieu. Tous les Carpediliens sont égaux, femmes ou hommes, jeunes ou vieux, et ils sont si généreux que personne n'est jamais en manque. À Carpedile, il n'y a pas de dirigeants. Chaque habitant fait ce dont il a envie, sans se laisser influencer par personne. Ils sont si conscients que leur liberté finit là où commence celle des autres, qu'ils ne pensent jamais à faire le mal. Il y a une seule règle primordiale que les Carpediliens affichent sur les portes de leur maison:

LA LIBERTÉ COMMENCE OÙ L'IGNORANCE FINIT.

Por cela, depuis leur plus tendre enfance ils s'exercent à lire, à écrire, à comprendre tout ce qui les entoure, à connaître les pourquoi de la vie, à découvrir les petits plaisirs de la science. Les enfants, le matin, vont à l'école, où on leur apprend à penser, à réfléchir et à avoir une opinion critique sur la vie. À l'école, on apprend les enfant à vivre. [...]
Les Carpediliens ont cette envie de vivre qui caractérise les plus fous. Ils aiment être actifs, courir, sauter, lire, écrire, s'allonger sur l'herbe et philosopher, ils adorent travailler et réfléchir, et profiter de chaque instant. Carpe Diem constitue leur premier dogme. Ils sont tous égaux mais à la fois si différents... Sociables, joyeux, vifs, intéressants, avec une originalité débordante et une créativité jamais vue.
La paix et l'harmonie dans laquelle ils vivent donne à la ville un air si doux, si confortable, qu'ils ne cherchent pas à changer leur système politique. [...]
Pour ces raisons, la vie à Carpedile était si simple et si complète que tout allait toujours pour le mieux. Tout allait si bien, que tous les systèmes postérieurs se sont inspirés de celui-ci, mais aucun d'eux n'a pu l'égaler jamais. Si bien, que même les défauts étaient à imiter. Que même le Ciel l'enviait.

domingo, 1 de mayo de 2011

Me borré del mapa del tesoro.

"Desearía ser una pintura de Andy Warhol colgada en la pared. O un pequeño Joe. O tal vez Lou. Me encantaría ser todos ellos. Todos los corazones rotos y secretos de New York serían míos. Te pondría en un carrete de película y eso sería grandioso." Control


No quiero volver a tener que madrugar. No puedo más. Estoy agotada.


Ego et moi.

Ego et moi.

Amigos

Hello I love you, won't you tell me your name?

Mi foto
Let's do some living.