Uno, dos, tres...



jueves, 16 de septiembre de 2010

Je ne donnerai pas de noms.

Je ne supporte pas devoir dépendre d'une personne qui ne peut pas se séparer d'une feuille de papier. Reculer sur mes connaissances et prendre des risques irréparables.
Dire au revoir à la langue de l'amour, à l'inspiration du chemin jusqu'à sa tombe de Victor Hugo, à la névrose de Ionesco, ou à l'absurde de Camus me tue.
Je refuse l'absence d'idées propres, ne pas savoir répondre à ce que l'on apprend aux générations futures.
Je m'énerve avec la neutralité, les couleurs qui ne m'apportent rien, des thèmes sans débat et des heures perdues à faire détour du thème à traiter comme si le temps était en trop.
J'ai besoin de regards vicieux et rires pervers, d'un amant de son travail et des conflits. De la controverse que créé ne rien étudier et connaître tout.
Eviter le premier rang et chercher des prénoms romantiques pour après revenir à l'origine me manque tellement.
Aujourd'hui, c'est pour vous.
Merci Monsieur.

1 cenizas encendidas:

WK. dijo...

BUAHHH PORKI JAJAJAJAJA
Tienes razon, está escrito como raro, pero nosé decirte porque... hmmm que raro...
Es verdad que este profesor es buenísimo, tengo mucha suerte.
P.S: si coincidimos en textos te paso la analyse del mio :)

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